Être un refuge LPO, c’est mener une action concrète et simple pour aider la nature. C’est aussi respecter l’environnement en adoptant des petits gestes écocitoyens. Ce lieu identifié permet ainsi à toutes personnes sur place ou de passage de découvrir et d’apprécier la nature. Le Zéro Phyto Le site est géré sans aucun produit phytosanitaire chimique…

Être un refuge LPO, c’est mener une action concrète et simple pour aider la nature. C’est aussi respecter l’environnement en adoptant des petits gestes écocitoyens.
Ce lieu identifié permet ainsi à toutes personnes sur place ou de passage de découvrir et d’apprécier la nature.

Le Zéro Phyto

Le site est géré sans aucun produit phytosanitaire chimique afin de respecter la vie des sols, la biodiversité et la santé de tous.

La fauche tardive

La gestion en fauche tardive consiste à laisser les plantes grainer, afin de maintenir une diversité botanique. Elle constitue une alternative à l’usage des produits phytosanitaires chimiques. Ce couvert végétal attire une grande diversité d’insectes qui serviront de nourriture aux oiseaux et chauves-souris et une zone d’abri aux reptiles, amphibiens, oiseaux et petits mammifères.

La haie champêtre

Composée de 3 strates (herbacée, arbustive, arborée) d’essences locales variées, elle sert à délimiter un terrain, couper le vent, freiner le ruissellement de l’eau et l’érosion des sols… Elle est le refuge d’une multitude d’espèces et joue un rôle important dans la nidification des oiseaux, fournit gîte et couvert aux petits mammifères, amphibiens, reptiles et aux insectes pollinisateurs dès la fin de l’hiver. La haie constitue ainsi un corridor écologique permettant le déplacement de la faune.

Les nichoirs

De nombreux oiseaux comme les mésanges, édifient leurs nids dans une cavité : arbre creux, cavité dans un édifice, avancée de toit… la raréfaction de ces cavités naturelles accélère le déclin des espèces. Pour y remédier, l’installation des nichoirs adaptés aux espèces ciblées permet de favoriser leur reproduction.

L’hôtel à insectes

Il présente un double intérêt :
– accueillir une multitude d’insectes comme les abeilles solitaires, les chrysopes, les papillons, les perce-oreilles (forficules), utiles à la pollinisation naturelle ou à la lutte biologique contre les ravageurs.
– faire connaitre et sensibiliser chacun à l’intérêt de préserver cette biodiversité.

Les ruches MONDRIAN et CALDER

Indispensables à la pollinisation des arbres fruitiers, les abeilles des ruches MONDRIAN et CALDER ont été installées et sont gérées par Drôme d’Abeille. Elles sont également un support pour mener des actions d’éducation à l’environnement : animation et formation.

Le radeau végétalisé

La mare des Clévos possède un radeau végétalisé ainsi que 6 boudins de Xylit qui ont pour mission d’améliorer la qualité de l’eau par des procédés épuratoires naturels et de favoriser la biodiversité.

Des plantes mellifères

Les plantes comme la lavande et le romarin sont mellifères, elle produisent en quantité et en qualité du pollen et du nectar facilement accessible aux abeilles. C’est pourquoi 96 pieds ont été planté afin de répondre aux besoins des deux ruches installées dans le parc.